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Publié : 26 septembre 2010

GPV doit vivre et travailler au pays

La direction préparait son mauvais coup depuis quelques mois : quelques suppressions d’emplois dont 84 à Annonay et 67 à la production... ce qui compromet l’avenir industriel du site.

L’accord avec l’espagnol Tongla n’y est pas pour rien. L’Europe capitaliste se construit sur le dos des salariés. Les communistes ont eu raison de ne pas en vouloir.

Le patronat se plie au marché et à la finance. Quel dommage que le Crédit Mutuel soit de la manœuvre !

On veut bien croire que le marché de l’enveloppe est en baisse. Comment l’entreprise a utilisé l’aide de la Région Rhône Alpes pour diversifier sa production et garder les emplois ?

Le risque est grand de n’avoir à terme sur Annonay que des emplois administratifs. Après la vente du Nom, la porte est grande ouverte pour le départ de la production.

… Ce sont pourtant les emplois industriels qui font vivre une région et ses habitants.

F. BONNET, secrétaire de la section PCF Annonay